Halte aux combats d'animaux!

Je m'oppose à tous combats d'animaux!

Je hais donc les corridas, les combats de chiens, de coqs et tous les combats d'animaux que l'on peut retrouver dans le monde!

J'ai honte d'être Suisse à cause des combats de Reines, c'est des combats de vaches qui se font en Suisse, mais aussi en France et en Italie!

Les humains ont choisis de se battre (guerre, par exemple!)!

Mais les humains font faire des combats à des animaux sans défenses, et je trouves cette attitude totalement cruelle et irresponsable vis-à-vis de la Nature!!!

J'ignorais qu'il existait des combats de vaches !!
Il n'y a longtemps j'ai appris l'existence de combats de chevaux ! ça me dégoute...

En plus je n'en vois pas "l'utilité" !

J'ai évoqué ce sujet dans un exposé sur le droit des animaux dont voici un extrait :

Au nom de la tradition, ces animaux sont sacrifiés dans les textes de loi.

Le code pénal consacre un chapitre sur les sévices graves ou actes de cruauté envers les animaux. Cependant, l’article 521-1 exclut des peines pour cruauté envers un animal les courses de taureaux et les combats de coqs en raison d’une tradition locale ininterrompue. Paradoxe : le même article interdit la création d’un nouveau gallodrome, ce qui tend à prouver le problème éthique que posent ces traditions : on autorise les combats de coqs ou les corridas au nom de la tradition locale, assez controversée pour interdire dans le même temps la création de gallodromes.
Ces dispositions exceptionnelles ne satisfont personne. Même si elles sont inscrites dans la loi il est incompréhensible, pour les défenseurs des animaux, d’autoriser ces pratiques. Pour représenter leurs opposants, nous prendrons l’exemple de la Fédération des coqueleux du Nord (le Monde 2 du 21 janvier 2006) qui mise sur le flou d’une loi qui ne précise pas la durée d’une tradition lorsqu’il s’agit de rouvrir un gallodrome.
Ces débats sont aujourd’hui encore d’actualités et il est important, à travers l’exemple des combats de coqs, de comprendre pourquoi la loi ne suffit pas aux yeux des défenseurs des animaux. Les combats de coqs relèvent d’une tradition masculine ancrée dans les Flandres depuis Napoléon III. Cette tradition présente des paradoxes : les propriétaires de coqs leur donnent énormément de soin (vaccins, gouttes pour les narines, compléments alimentaires, couveuse) - « on les bichonne comme nos propres enfants » - tout en leur imposant une mutilation : découpage des crêtes, du crépon sur la tête - « si on ne les enlève pas, ils se les arrachent pendant les combats et ça saigne de partout » - ou encore couper les ergots pour y mettre des aiguilles en acier, ce qui paraît contraire à l’article R214-84 du code rural : « II est interdit de faire participer à un spectacle tout animal dont les caractéristiques ont été modifiées par l'emploi de substances médicamenteuses ou qui a subi une intervention chirurgicale telle que la castration des spécimens d'espèces sauvages ou le dégriffage pour toutes les espèces, à l'exception des interventions pratiquées par un vétérinaire pour des raisons sanitaires ».
Enfin, le coq mort est vidé de son sang et offert aux spectateurs : « je ne mange jamais mes coqs. On n’est pas des barbares ».

L’article R215-9 du Code Rural punit de la peine d'amende prévue pour les contraventions de la 4e classe le fait « de faire participer un animal à des jeux ou attractions pouvant donner lieu à mauvais traitements, dans les lieux visés à l'article R.214-85 », mais souligne également l’exception octroyée aux corridas et combats de coqs, et ce malgré la cruauté de la mise à mort : « sous réserve des dispositions prévues au troisième alinéa de l'article 521-1 du code pénal ».

Sans oublier les cirques, où les animaux sauvages sont torturés pour le spectacle, donc le profit!

Les dresseurs nous font croire que tout va bien, mais les vidéos nous dissent le contraire!

J'ai honte d'être humain!!!

J'avoue que je suis "désarmée" face aux animaux de cirque...
J'ai envie de les voir et en même temps, ils me font pleurer...

En effet ce n'est pas dans leur nature d'être dressés à coup de fouet et de hurlements. Le film "deux frères" de J.J Annaud le démontre bien.
Pour se défendre, les cirques estiment que sans les animaux, les gens ne viendraient plus. Et le pire, c'est qu'ils ont raison !

J'ai été témoin d'une maltraitance animale dans un cirque : un employé de Pinder donnait "gratuitement" des coups à un vieux lion, et ce sans raisons (et devant tout le monde en plus, qui n'a rien compris et pensait qu'il maitrisait un lion récalcitrant). Le lion ensuite grognait à chacun de ses passages. ça nous a rendus malheureux.

M. Eldenstein disait à la télé qu'il arrêterait le métier si ses fauves étaient malheureux, qu'il commence par regarder ses employés !